une vague de souvenir ...

Iwari revenait de chez ses parents, après leur avoir expliqué son projet ainsi qu'avoir fait ses bagages. Il fit ses adieu a sa famille qui lui souhaita bonne chance. Ses aurevoir s'étaient bien passés malgré le fait que sa soeur lui avait accroché la jambe j'usquau palier de la porte. En retournant ver le pensionnat, Iwari voulait donc faire un détour par un chemin passant par la plage. Marchant face a cette océan, Iwari s'arrêta lâcha son sac et s'assit devant l'océan. Malgré une nouvel vie qui s'annonçait, un goût amère lui restait en travers de la gorge, un sentiment de manque mélangé a de la colère donnant de la mélancolie il s'allongea dans le sable, repenssant a son passé. Il fouilla ses poches :
*Ettt merde j'ai pas de clope, pffff pourquoi je repense a tout sa ...

- Euuhhh... Monsieur? Excuser moi, mais le sable va mouiller vos vêtments.

Une jeune fille étudiante au pensionnat venait d'arriver et parlait a Iwari qui était dans un état de demie rêve, presque d'hypnose, revivant une scène passé. En entendant la voix de la jeune fille cela provoca une réaction sur Iwari.

"Amane ne part pas, revient j'ai besoin de toi AMANE !!!!"

Iwari se réveilla comme après un cauchemar complètement perdu et extrêmement nerveux, quand il regarda le ciel il vit une jeune fille penchée au dessus de lui, a peine sortit de son rêve il lui demanda des choses incompréhensibles en l'appelant Amane, puis la pluie finis par lui faire reprendre conscience. Il se retrouvait trampé plein de sable mouillé avec une élève.

* Mais c'est l'enfant que la directrice m'avait montré, j'ai dut lui faire peur ...

- Excuse moi, tu est Ailisa n'est-ce pas ? Cela peut paraître bizarre mais je ne te veut aucun mal je suis surveillant a Takahashi, voudrais tu m'accompagner au pensionnat je suis trempé. Pour la peine je te raconterai ce qu'il c'est passé.

* J'espère n'avoir rien fait de trop étrange a ses yeux

- D'accord, monsieur. Mais, vous n'avez pas à vous justifier, ni à me raconter quoi que ce soit, je ne suis qu'une élève...

Iwari fut troublé par la réponse d'Ailisa, après ce qu'il avait fait, il pensait qu'elle lui poserait des questions ou qu'elle refuserait, mais non en aucun cas elle accepta de le suivre sans réticence et en plus lui disait qu'il n'avait pas à se justifier.

* C'est vrai qu'elle a eu une enfance difficile, bref allons y elle a l'air gelée.

Iwari allait prendre la main d'Ailisa, mais il se rappela qu'elle ne supportait pas les contacts il lui montra donc le haut de la bute et lui demanda de le suivre a cet endroit. Ils commencèrent à monter la bute en arrivant près de son sac il sortait un parapluie et le donna à Ailisia et mit sa veste sur les épaules de celle-ci, il lui fit un large sourire tout en lui disant :

- Aller ont rentre à la maison. Au fait je m'appelle Morito Iwari.

Iwari remit son sac sur ses épaules et ils partaient tout deux en direction du pensionnat, Ailisa ne tremblait plus cela rassura Iwari qui était mouillé jusqu'à l'os, mais ne sans souciait pas.

- Qu'est-ce que tu voudrais manger une fois rentré ? Je ne sais pas pour toi, mais tous ses événements mon creusés.

Le surveillant se dirigea vers son sac et, par automatisme, Ailisa le suivit, toujours en silence. Elle le vit sortir un parapluie du sac et le lui donner. Cela lui rappela lui rappela une scène de son enfance et, comme à l'époque, elle l'ouvrit et le tint au dessus du jeune homme. Celui-ci, qui ne sembla pas le remarquer, prit une veste dans le même sac et la mit sur les épaules d'Ailisa. Elle eut un instant peur, mais ce fut tellement rapide qu'elle n'eut pas le temps de réagir.

- Allez on rentre à la maison. Au fait je m'appelle Morito Iwari.

Ailisa ne répondit pas, il connaissait déjà son nom. Il se dirigèrent ensemble vers le pensionnat. Le jeune n'avait pas du tout froid, malgré le fait qu'elle soit trempée. Peut-être grâce à la veste du surveillant qui reprit la parole :

- Qu'est-ce que tu voudrais manger une fois rentré ? Je ne sais pas pour toi, mais tous ces événements m'ont creusés.

La jeune fille ouvrit grand les yeux d'étonnement. Avoir faim... En réalité, cela faisait des années qu'elle n'avait pas ressentit la faim. Depuis que son frère ainé l'avait entrainé loin du reste de la famille, elle se nourrissait deux fois par jour (car elle ne dînait jamais). Pour elle qui avait parfois passé des journées entières sans même un bout de pain, c'était un très grand luxe.

- Je n'ai pas faim, monsieur. Ils sont gentils au pensionnat, ils donnent ce qu'il faut, tous les jours.

- Je n'ai pas faim, monsieur. Ils sont gentils au pensionnat, ils donnent ce qu'il faut, tous les jours.

Ailisa semblait si choqué de la demande d'Iwari qu'il n'insista pas. Iwari se demandait ce qu'elle avait put enduré pour être a se point effacé, on ne la sentait pas, si discrète. Il reprit :

- Et bien pour moi se seras nouille express, pour me faire pardonner de t'avoir fait peur tu peut me demander se que tu veux, je tiendrait promesse dans une certaine limite du possible bien sur.

Ailisa ne lui répondais pas malgré qu'elle semblait vouloir demandé quelque chose rien ne sortait de sa bouche.

- Ne tant fais pas tu n'auras qu'a me le dire une fois que nous serrons au sec

Leur marches les avaient enfin ramené devant le portail de takahashi, il pleuvait des cordes mais cette atmosphère n'était pas oppressante malgré la pluie, c'était presque apaisant. Iwari poussa la porte puis il travèrssèrent tout le parc pour atteindre la porte d'entré.

* pourquoi sont visage me rappel tant Amane, non pas sont visage ses yeux se sont les mêmes que ceux d'Amane ce jour là.

Avant de rentré Iwari lui demanda si elle avait fait son choix, ou si elle voulait retourner a sa chambre.